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OUTLAWS ET MERCENAIRES DANS LE TAHARI


Tout d'abord, la question se pose: les mercenaires et les hors-la-loi ont-ils un rôle BTB dans le Tahari? La réponse est un oui définitif.


Outlaws et Mercenaries ne sont pas les mêmes, pas même similaires. En fait, ce sont eux-mêmes des adversaires ou des ennemis. Pour comprendre cela, regardons comment les mercenaires dans le livre sont dépeints.


D'abord, nous lisons qu'il y a une sorte de mercenaires à Tor. Les marchands qui organisent des caravanes dans les différentes oasis embauchent des "cavaliers" ou des gardiens payés, pour protéger la caravane des attaques. Cependant, ces gardiens ne font PAS partie d'une organisation de mercenaires mais d'individus.


Leur patron n'est pas un capitaine de mercenaires mais le marchand qui gère la caravane. Ils sont embauchés pour protéger la caravane contre les raiders - hors-la-loi.


Est-ce que ces "mercenaires" sont hors la loi? Non. Ils sont des gens honorables dans la loi qui font un travail pour lequel ils sont payés. Rien de sombre ou de mauvais à ce sujet. Dans les livres, ils sont payés lorsque la caravane atteint sa destination en toute sécurité et on dit qu'ils passent la plupart de leurs salaires dans les cafés pour les boissons et les kajirae.


En second, ce que nous lisons sur les mercenaires, c'est quand ils étaient les guerriers de l'Ubar du sel. Le Ubar du sel avait une petite armée, en fait, des mercenaires payés. Il les avait pour une raison particulière et il les avait également structurés en rangs militaires.


C'est plus une organisation de mercenaires, puis les cavaliers que j'ai mentionnés plus tôt, encore une fois des individus embauchés par un commerçant dans un but précis.


Les tribus sont trop fières pour laisser la sécurité de leur peuple entre les mains des guerriers embauchés. Les commerçants préfèrent garder le contrôle de leurs cavaliers. Aussi, comme on peut le voir dans le livre, il est facile de contracter des cavaliers à Tor, pourquoi prendre les risques de l'embauche d'un «cabinet» de mercenaires?


Et enfin, mais certainement pas le moindre: dans les tribus, ces organisations n'existent pas. La seule organisation qui se rapproche quelque peu de celle-ci est les guerriers de l'Ubar du sel. Il vivait dans une kasbah de luxe massif dans le désert et contrôlait les mines de sel (d'où le nom).

Son entreprise n'offrait pas de services de mercenaires, mais le commerce du sel. Il avait engagé des mercenaires et placé une femme capitaine (voir mon article sur Tarna). Son plus grand ennemi était Hassan, le bandit qui a interféré dans ses projets pour faire en sorte que les deux grandes tribus se mettent en guerre les unes avec les autres.


OUTLAWS

Nous rencontrons ici un scénario totalement différent. Les gangs hors-la-loi, appelés «raiders», sont la norme dans le Tahari. Norman choisit de les appeler les raiders au lieu des hors-la-loi. La raison en est que le désert de Tahari est un environnement relativement sans loi et la ligne entre un hors-la-loi et un hors-la-loi est plutôt indéfinie.

Donc, en dehors de quelle loi, la loi sur la loi serait-elle en suspens? Les lois de Turia? Turia revendique la souveraineté sur le Tahari. Donc, d'un point de vue Turian, toutes les tribus du Tahari pourraient être considérées comme des hors-la-loi, car elles n'ont pas de navires de guerre, ne sont pas de la Pierre de foyer de Turia. Malgré cela, Turia commerce à la frontière du Tahari et entretient des échanges avec eux.

Ces "raiders" sont-ils hors-la-loi du point de vue de Taharian Pachas? Oui, mais ils sont tolérés par les gens dans les oasis. Les Pachas et leurs gens sont eux-mêmes descendants des raiders, il y a longtemps.

En fait, les raiders dans les tribus entrent librement dans les oasis pour commercer et utiliser librement des installations telles que l'auberge, les réserves d'eau, les cafés. Dans certaines oasis, ils n'entrent que la nuit, d'autres à la lumière du jour.

Personne ne les arrête, aucune question ne le demande.

Tarl était en train de monter avec un groupe de raiders la plupart du temps, alors qu'ils poursuivaient des objectifs similaires. Tarl et Hassan, le bandit sont devenus même de bons amis.


Ces groupes de raiders, où des organisations non puissantes "contrôlaient" les routes commerciales du Tahari. Le contrôle sur les routes commerciales est partagé par les pachas du Kavar et l'Aretei (Nord et Cneter), par les Salt Ubar (Sud et Est) et par les autorités Turian (Ouest).

Les raiders sont de petits groupes d'hommes qui font des courses de caravanes plus petites, ou des personnes assez folles pour se rendre au tahari sans mesures de sécurité appropriées. Ils volent de ces personnes tout ce qu'ils peuvent obtenir, y compris leurs femmes qu'ils négocient dans les oasis pour des pièces de monnaie.

Il y a des femmes dans ces groupes de raiders avec des fonctions différentes (ne pas se battre bien sûr, nous savons que cette chose n'existe pas sur Gor). L'utilisation d'espions féminins semble être une méthode courante pour les raiders d'obtenir des informations sur les itinéraires que certaines caravanes prennent.

Ces raiders s'habillent comme tout autre homme ou femme dans le Tahari. Si vous voulez entrer dans un café dans une oasis, vous ne pouvez pas dire la différence entre un guerrier de la tribu et un raider, autrement par la couleur des rayures des guerriers kayeff qui indiquent sa tribu.

Les raiders courent des kaiilas, ils utilisent le cimeterre, ils ont des lances et vivent dans des tentes mobiles.

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