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L'environnement géographique de Kasra

Kasra est une ville portuaire située sur le Fayeen Inférieur, célèbre pour son sel rouge.


"Nous allâmes près de l’homme.

« Voici Ibn Saran, Marchand de Sel du port fluvial de Kasra, » le présenta Samos.

Le Sel Rouge de Kasra, ainsi nommé en raison du port d’où il provenait, était célèbre sur tout Gor. Il était extrait de fosses et de mines secrètes de l’intérieur, attaché, dans de lourds cylindres, sur le dos de kaiilas de trait."

"John Norman - Les Chroniques de Gor – Les Tribus de Gor – Livre 10"


"Dans le coin nord-ouest, se trouvait Tor. À l’ouest de Tor, sur le Fayeen Inférieur, affluent lent, tortueux, comme le Fayeen Supérieur, du Cartius, se trouvait le port fluvial de Kasra, célèbre pour ses exportations de sel. C’était dans ce port que les entrepôts d’Ibn Saran, Marchand de Sel actuellement invité de Samos de Port Kar, se trouvaient. La corde de son agal et les bandes de sa djellaba indiquaient qu’il était originaire de cette ville."

"John Norman - Les Chroniques de Gor – Les Tribus de Gor – Livre 10"


"Tor, qui se trouve au coin nord-ouest du Tahari, est le point de ravitaillement principal des communautés disséminées dans les oasis de ces immensités desséchées, presque un continent de roche, de chaleur, de vent et de sable. Ces communautés, parfois importantes, comptant des centaines ou même des milliers de citoyens, cela dépend de l’eau disponible, peuvent être séparées les unes des autres par des centaines de pasangs.

Elles dépendent des caravanes, venant généralement de Tor, mais aussi de Kasra et même de Turia, pour la satisfaction de la majorité de leurs besoins."

"John Norman - Les Chroniques de Gor – Les Tribus de Gor – Livre 10"


"J’étais à Tor depuis quatre jours, après avoir gagné Kasra à dos de tarn. J’avais vendu l’oiseau, car je ne voulais pas me faire remarquer à Tor, du fait que les tarns y sont rares.

À Kasra, j’avais pris un dhaw et remonté le Fayeen Inférieur jusqu’au village de Kurtzal, qui se trouve au nord de Tor. Les marchandises transportées de Tor à Kasra transitent parfois par Kurtzal avant de partir vers l’ouest par le fleuve. Kurtzal n’est qu’un petit port de transit."

"John Norman - Les Chroniques de Gor – Les Tribus de Gor – Livre 10"


• ATTENTION !!!


La Cité capitale de Tyros s’appelle aussi Kasra, à ne pas confondre.


"Kasra est la capitale de Tyros ; il n’y a qu’une seule autre grande ville : Tentium."

"John Norman - Les Chroniques de Gor – Les Pirates de Gor – Livre 6"


• Le Fayeen supérieur et inferieur


Ces sont des affluents de la rivière Cartius; situés dans le désert Tahari, ils servent non seulement comme de source d'eau, mais aussi pour les expéditions de fret. Le Fayeen inferieur est décrit comme «lent»; le port fluvial de Kasra s'y trouve.


"Je regardai par terre. Bien qu’elle n’occupât que quelques pieds sur la carte, la région était immense. Elle avait, en gros, la forme d’un long trapèze dont les côtés étaient orientés vers l’est. Dans le coin nord-ouest, se trouvait Tor. À l’ouest de Tor, sur le Fayeen Inférieur, affluent lent, tortueux, comme le Fayeen Supérieur, du Cartius, se trouvait le port fluvial de Kasra, célèbre pour ses exportations de sel."

"John Norman - Les Chroniques de Gor – Les Tribus de Gor – Livre 10"


• Cartius


L'un des plus grands fleuves de Gor que l'on croyait être un affluent de la rivière Vosk, mais plus tard on découvre qu'il y a une autre rivière Cartius, la Thassa Cartius. Une voie équatoriale importante, vitale pour des raisons économiques, elle coule vers l'ouest par nord-ouest jusqu'à ce qu'elle atteigne les forêts et les décharges dans le lac Ushindi. Le Cartius ne se jette pas dans Thassa. L'explorateur d'Anango, Shaba, a été le premier homme civilisé à faire le tour du lac Ushindi, et à découvrir que le Cartius trouve sa fin en se jetant dans le bon le lac.


"Les Peuples des Chariots revendiquaient les prairies du sud de Gor, de l'étincelante Thassa et des Monts Ta-Thassa jusqu'aux premières hauteurs des Voltaï, qui se dressent sur la terre goréenne comme l'épine dorsale de la planète. Au nord, ils avaient même des prétentions sur les rives broussailleuses du Cartius, large affluent au cours rapide qui se jette dans l'incomparable Vosk."

"John Norman - Les Chroniques de Gor – Les Nomades de Gor – Livre 4"


(Cette partie n'a pas été traduite dans la version française)"The Cartius River incidentally, mentioned earlier, was named for the direction it lies from the city of Ar. From the Sardar I had gone largely Cart, sometimes Vask, then Cart again until I had come to the Plains of Turia, or the Land of the Wagon Peoples."

"John Norman - Les Chroniques de Gor – Les Nomades de Gor – Livre 4" (footnote).


"— « Dis-moi ce que tu sais du Cartius, » demanda-t-il.

— « C’est une importante voie fluviale de l’équateur, » répondis-je. « Elle s’écoule de l’ouest au nord-ouest, entrant dans la forêt équatoriale et se jetant dans le Lac Ushindi, lac d’où sortent deux fleuves : le Kamba et le Nyoka. Le Kamba se jette directement dans Thassa. Le Nyoka se déverse dans le port de Schendi et, de là, gagne Thassa. » Schendi était un port libre de l’équateur, bien connu sur Gor. C’est également le port d’attache des Marchands d’Esclaves Noirs.


• Canaux


Alors que Port Kar est une ville faite d'un labyrinthe de canaux, un peu comme Venise, Italie sur Terre, cependant, il y a aussi des canaux qui ont été construits par Bila Huruma dans la région d'Ushindi; certains pour gérer le débordement de l'eau des lacs, une autre longue voie navigable conçue pour ouvrir une route plus directe entre les grands lacs et les rivières.


"Je trouvais surprenant, comme, sans doute, la majorité des Goréens, même à Schendi, qu’un Ubarat aussi grand et complexe puisse exister sur l’équateur. Un des indices les plus stupéfiants de sa taille et de son ambition était le projet auquel je participais contre ma volonté, la tentative visionnaire de relier le Lac Ushindi au Lac Ngao, distants de quatre cents pasangs, par un canal, un canal qui, via le Lac Ushindi, les Fleuves Nyoka et Kamba, relierait le mystérieux Fleuve Ua, qui se jetait dans le Lac Ngao, à Thassa la Luisante, la Mer, ce qui aurait pour effet, compte tenu de l’existence de l’Ua, d’ouvrir le monde civilisé aux richesses de l’intérieur, richesses qui transiteraient forcément par l’Ubarat de Bila Huruma.

"Les eaux du Lac Ngao se déversaient dans le grand marécage situé entre le Lac Ngao et le Lac Ushindi, et, de là, gagnaient le Lac Ushindi. L’intention des ingénieurs de Bila Huruma consistait à construire deux murs parallèles, d’environ deux mètres de haut, séparés par une centaine de mètres.

La zone située entre les murs, les eaux du marécage étant détournées de part et d’autre, serait asséchée en prévision du creusement du canal principal. Pour ce travail, des tharlarions de trait et des herses énormes, venant du nord, ainsi que des ouvriers innombrables, seraient utilisés. Au cas où le canal central, une fois terminé, ne pourrait contenir la totalité du trop plein du Lac Ngao, on envisageait de construire des canaux latéraux. L’intention ultime de Bila Huruma n’était pas seulement d’ouvrir les forêts de l’intérieur, ainsi que le Bassin de l’Ua et de ses affluents, à l’exploitation commerciale et à l’expansion militaire, mais d’assécher les marais situés entre les Lacs Ngao et Ushindi, afin de consacrer les territoires ainsi récupérés à l’agriculture. Bila Huruma ne cherchait pas seulement à consolider un Ubarat, mais à fonder une civilisation."

"John Norman - Les Chroniques de Gor – Les Explorateurs de Gor – Livre 13"


"Quand le Lac Ushindi et le Lac Ngao seraient reliés par le canal, une voie fluviale continue serait ouverte entre Thassa et l’Ua. On pourrait alors, via le Kamba ou le Nyoka, gagner le Lac Ushindi. On pourrait ensuite emprunter le canal jusqu’au Lac Ngao. Depuis le Ngao, on pourrait pénétrer sur l’Ua. On pourrait ensuite suivre l’Ua sur des milliers de pasangs et gagner le Lac Shaba. Et le Lac Shaba lui-même était alimenté par de nombreux cours d’eau riches de promesses, tout comme les affluents de l’Ua, quant aux possibilités de territoires nouveaux.

L’importance du travail de Bila Huruma et de Shaba, le premier en tant qu’Ubar, le deuxième en tant que Scribe et explorateur, ne pouvait, à mon avis, être surestimée."

"John Norman - Les Chroniques de Gor – Les Explorateurs de Gor – Livre 13"




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