Les contes lors d'une soirée à Jad
Victorine (RoseLilibeth): Tout d'abord je voudrais vous remercier de votre présence au comptoir ce soir et vous souhaiter la bienvenue. J'espère que cette soirée saura vous faire voyager à travers des différents univers de notre planète. Pour commencer et un peu vous expliquer le pourquoi de cette soirée je me permettrai de conter la première puis je me retirerai et qui voudra pourra prendre la parole. Si toutefois certains ne pouvaient et par faute de temps, d'autres soirées contes pourrait être organisées Le conteur: Un beau jour, toutes les couleurs du monde entier se mirent à se disputer. Chacune prétendait qu’elle était la plus belle, la plus importante, la plus utile, la préférée ! Elles se vantaient, à haute voix, chacune étant bien convaincue d’être la meilleure. Le bruit de leur querelle s’enfla de plus en plus. Soudain, un éclair d’une lumière aveuglante apparut dans le ciel, accompagné de roulements de tonnerre. La pluie commença à tomber à torrents sans discontinuer. Effrayées, toutes les couleurs se tapirent et se rapprochèrent pour chercher un abri les unes près des autres. La pluie prit la parole : «Stupides créatures qui vous battez entre vous, chacune essayant de dominer l’autre, ne savez-vous pas que c’est les prêtres rois qui vous ont faites toutes, chacune dans un but particulier, uniques et différentes ? Ils aiment chacune d’entre vous, ils ont besoin de vous toutes. Joignez vos mains et venez à moi. Ils vont vous étendre à travers le ciel en un magnifique arc-en-ciel, pour vous montrer qu’ils vous aiment toutes, que vous pouvez vivre ensemble en paix. Comme une promesse qu’ils sont avec vous, et comme un signe d’espérance pour demain…» . Ainsi, chaque fois que les prêtres rois envoient une pluie pour laver le monde, ils placent l’arc-en-ciel dans leur ciel, et quand nous l’apercevons nous devrions nous rappeler qu’ils veulent que nous sachions, nous aussi, nous apprécier les uns les autres et les louer de notre merveilleuse complémentarité. Marélie (ann Malaspina) inspire plante son regard sur l'assistance et commence d une voix douce : Les trois lunes projettaient deja leur lueur sur le desert lorqu elle arriva aux portes du kennel.La température étant plus clémente,les citoyens avaient rejoint les auberges,se regroupaient ca et la discutant a batons rompus. On pouvait aussi entendre le son des instruments des artistes donnant a la cité une ambiance festive. Pourtant,loin de réjouir la vieille kajira,elle se sentait l'esprit sombre et Lasse,,son dos vouté a force de porter les sacs de sel,ses pieds rapés ,brulés par le sable chaud,sa peau tannée par le soleil qui ne l avait pas épargnée au fil des mains et des mains Qu elle se sentait vieille aussi, le temps ayant fait son oeuvre laissant des traces immuables sur son pauvre être marqué par un labeur pour lequel elle n' avait jamais rechigné. La kajira tendit sa main pour pousser la porte au bois tout autant usé qu elle quand soudain......elle sentit ses forces l abandonner. la voix tremblante poursuit... Pourtant sa fierté ,elle,etait restée intacte et se sentir diminuée ainsi ,elle ne pouvait le supporter. Aussi prit elle une décision..une grave décision mais il fallait s'y resoudre. D'un pas lent,elle s'éloigna en direction du desert qui bordait la cité et lorqu'elle n'en appercut que les hauts remparts,que les clameurs semuèrent en murmures ,s'allongea sur le sable,derriere une souche épaisse et assez large pour qu'elle se sente protégée Fermant les yeux,elle attendit que la mort vienne la capturer dans ses mailles mais comme celle ci tardait,elle se plongea dans ses souvenirs d'antan Elle se souvint alors comme elle fut belle,il se disait même qu'elle était la plus belle des kajiraes de GOR!Ah elle avait souvent eveillé la jalousie de ses souers de chaine! Mais,jamais,celle ci ne se manifesta de manière hostile Non,elle se souvint même de leurs rires dans les bains alors qu'elles eclaboussaient leur Maitre,ou lorsque celui ci grognait si elles frottaient son dos avec trop de vigueur. Et puis elle se souvint de son corps ondulant au son de la musique de ses longs cheveux ébène caressant sa croupe alors que ses pieds frappaient le sol. Les maitres tendaient leurs mains avides vers ses soies aguichantes et ennivrantes virevoltant autour de son corps enfiévré avant de choir au sol. Elle se souvint de la caresse de chacun de ses Maitres et des colliers qu elle avait portés fièrement Un leger vent de sable chantant a ses oreilles ne perturba pas le fil de ses souvenirs..Seuls quelques grains de sable vinrent se deposer sur ce visage jadis si beau et sur ses yeux clos. Elle se souvint du sifflement des flèches de la fiere caste rouge lorque projetées par leurs arcs bandés,elles venaient enfin se planter sur l'ennemi menaçant Elle se souvint de ses services respectueux lorsque bras tendus,coupe,tankar,bol d'argile en mains,elle choisissait avec devotion des formules qui ravissaient les maitres et maitresses. Soudain,une voix au loin retentit...elle ouvrit les yeux ,tendant l'oreille...La voix se fit entendre a nouveau...on l'appelait! Oui,cétait bien le nom qu'on lui avait donné qui s'élevait la ,au dessus du tahari....et cette voix ,elle ne pouvait ne pas la reconnaitre. Le Maitre qu'elle avait tant aimé.....Il était la, la cherchant peut être avec le souvenir de sa beauté Alors,mue par une soudaine force qu'elle puisa tout au fond de son être vieillissant elle se releva avec peine, posa sa main sur la souche pour s'aider et une fois debout,la mort vint la saisir doucement ,sans un bruit,sous les trois lunes... La vieille kajira mourrut ainsi debout ,ses pieds enfoncés dans ce sable qu'elle avait tant aimé,emportant avec elle ses souvenirs et comme derniere parole celle du Maitre qu 'elle n'avait jamais oublié. La morale de cette histoire est qu'une kajira peut mourrir debout,fierement,et que seule la voix de son Maitre peut lui rendre la force de continuer a vouloir vivre... Elle peut être aussi différente,la mort avait elle pris pour être plus douce la voix du Maitre qu'elle avait tant aimé? Car ne dit on pas aussi que la vie d'une esclave est entre les mains de son Maitre Marélie (ann Malaspina): merci sir et merci a tous et toutes de m avoir ecouté
Victorine (RoseLilibeth): Giulietta, nous t'écoutons avec un grand intérêt *se demande se que cette dernière a encore inventé*
Giulietta Torino (Alexandria Zenovka) frotte les mains Giulietta Torino (Alexandria Zenovka): crie : Il était une fois dans la foret de Wenohir....une femme d'une grande beauté du nom de...de....Julie Terrina Dans sa grande bonté elle hebergé aussi des gens et des créatures peu recommandables....dont une était le Groll ! Le Groll était un quadrupède à la peu séché grisâtre, avec un visage terrifiant et de grandes dents pour croquer les pieds des kajirae qui s'aventureaient dans la foret Le malheureux souffrait cependant de sa comparaison avec un dénommé Rahan, qui habitait lui du coté de Jad, et qui était bien plus bête que méchand, le Groll lui était féroce ! Un jour le Groll, furieux de la facheuse méprise décida de partir vers Jad C'est là qu'il croisa le chemin de la pauvre Asilma Une kajira très poltronne, pas très brave et qui avait été une mauvaise fille dernierement Il demanda a la kajira où se trouvait le triste Rahan Après que celle ci lui eut répondu il la dévora ! puis il se dirigeat vers la cité après être rentré dans un tharlarion de bois inspiré par les déboires des Red Eyes Panthers (cf: La Gazzetta XII) La supercherie fonctionna et à la nuit tombée il sorti du thalarion de bois dont Jad croyait à une offrande distrayante et se dirigea chez l'abominable Rahan ! C'est alors qu'il vit de ses propres yeux que l'ignoble Rahan était en réalité en couple avec la non moins ignoble Lady Veronique Beaumont, vieille bibliothécaire croqueuse d'homme, c'est là, le point le plus horrible de l'histoire, le Groll laissa donc ce pauvre Rahan au malheur de son quotidien et rentra à Wenohir auprès de la belle Julie Terrine.... Giulietta Torino (Alexandria Zenovka): Voila c'est fini !
Victorine (RoseLilibeth) hésite à se cacher derrière le comptoir et finit par dire: Merci Giulietta pour votre imagination.... débordante....
Giulietta Torino (Alexandria Zenovka): J'ajouterai cependant que Miss victorine n'a pas de culotte ce soir
Victorine (RoseLilibeth): Bien, qui se sent pret à.... passer derrière Giulietta ?
Jax Kashar (Angel Mowadeng) s'éclaircit la voix "alors je serais le prochain!"
Victorine (RoseLilibeth): Ne soyez pas timides, nous sommes.. entre nous
Icabu en avait bien une à raconter de son enfance... Il regarde le mâle se charger d'être le suivant et patiente.
Victorine (RoseLilibeth): très bien Ubar, nous t'écoutons
Jax Kashar (Angel Mowadeng) incline la tete vers le poete Jax Kashar (Angel Mowadeng) s'éclaircit la voix et regardant les présent un par en racontant sa légende "La tribu des Tuchuk fait partie d'une des grandes familles des tribus nomades de Gor. Ainsi Batachi est à la tête d'une longue lignée de descendants pour arriver jusqu'a Tojin et sa compagne Borchin la belle." Il y a bien longtemps de cela, Tojin et son épouse Borchin la belle formaient un couple très fidèle et très uni. Ils étaient tellement uni que leur premier enfant naquit avec un seul œil, placé verticalement au milieu du front. On le nomma Duwa l’aveugle. Cet œil unique était, par contre, très perçant et grâce à lui. Duwa avait le don de voir à cent passangs à la ronde. Après Duwa naquit un deuxième fils qui prit le nom de Dobun le Grand Archer. Jax Kashar (Angel Mowadeng) parle vite aii "Les années passèrent et les deux frères devinrent des jeunes gens pleins d’ardeur et de force. Un jour, ils partirent à la chasse. Duwa l’aveugle, se servant de son don, parcourra la plaine de son regard perçant. Il vit, à l’horizon, un groupe de personnes qui se déplaçait et dit à son frère "J'aperçois, au loin, une très belle jeune fille et sa suite. Je pense qu’elle va à ses noces. Demain, elle devrait passer non loin d’ici. Quand elle arrivera, enlève-la pour en faire ton épouse." " Jax Kashar (Angel Mowadeng) fait une pause pour boire un coup et reprend son histoire "Dobun le grand archer ne le cru qu’a moitié, mais le lendemain il revint quand même au même endroit pour vérifier les dires de son frère. Il vit alors arriver une jeune fille très bien entourée d’une petite troupe. Le jeune homme se précipita sur eux, les assaillant de flèches et de coups de lances. En peu de temps, la petite troupe fut dispersée et Dobun le Grand Archer enleva la jeune fille pour l'emmener dans son chariot." C’est comme ça qu’Alan la Belle devint l’épouse de Dobun le Grand Archer. Bien vite, naquit un enfant, il fut nommé Bügün. Malheureusement, peu après, Dobun le Grand Archer fut tué au cours d’un raid, laissant seuls, son épouse et son fils.
Athan de Nidaros (Athanasius Pearl): ça chez les Tuchuks, on vit pas vieux....
Jax Kashar (Angel Mowadeng) jete un oeil vers le poete, le sourire en coin et poursuit "Alors que Alan la Belle s’occupait de ses deux enfants et qu’elle restait chaste, elle donna la vie à trois autre enfants. Tous le monde était préoccupé par ce miracle et désirait connaître le secret de ce mystère." Jax Kashar (Angel Mowadeng) s'est perdu dans ses comptes, il a mélangé le nombre d'enfant à cause de la gniole de Victorine "Alors, Alan la Belle leur expliqua, contrairement à ce raconte Sir Xenaus, qu’avant chaque naissance, elle avait vu un rayon de soleil entrer par l’ouverture du chariot. Ce rayon lumineux lui frôlait sa douce peau blanche et lui réchauffait le cœur comme du temps ou son mari était vivant. Jax Kashar (Angel Mowadeng) rale "j'ai pas terminé!!!" puis il poursuit" C’est ainsi que naquirent: Belgünütei, ancêtre des Kassar, Buqu-Qadaji, ancêtre des Paravacci, Buqatu-Salji, ancêtre des Kataii et Boronchar-Mungqaq, ancêtre des Tuchuk." Jax Kashar (Angel Mowadeng) termine, enfin! "C’est pourquoi, chez les Tuchuk et les autres tribues nomades de Gor, on dit que dans nos veines se mêlent le sang d’Alan la belle et de la lumière du soleil.... voilà là j'ai terminé"
Victorine (RoseLilibeth): Bravoet merci pour ce merveilleux conte
Marélie (ann Malaspina): superbe!!bravo!!*marelie applaudit aimant bien les histoires des peuples*
Victorine (RoseLilibeth): Nous allons à présent écouter un homme ui nous vient des sables de Kasra
ĴÃŜÃ'Ď ŻÃЌÃ (Zaaika) se retourne en souriant vers Ica.
Icabu monte sur un banc histoire de se faire voir dans l'innombrable foule! Icabu commence alors à miner ce qu'il va conter pour capter son auditoire et lance d'une voix forte et audible " Je vais vous raconter le récit que parfois ma mère me contait le soir quand j'étais tout petit pour m'endormir, conte ou légende? À vous d'en juger... Voyagez avec moi... Ne formons plus qu'un... " Icabu: crie : ((démarrer le lien : https://www.youtube.com/watch?v=HFeBRZonMEk )) Voici une légende mon fils, écoute attentivement...devant toi, ce n'est que brume qui lentement s’éclaircit.. Une ombre apparaît ...de plus en plus précise ... avec des mains mouvantes, aux doigts crochus. Alors entre vous commence à éclore un œuf bleu...La matière s’écaille et tombe en miette .. Une fine poussière mystique des songes passés en remonte … ... Et c’est ivre de la complainte de ma voix, Ihns après Ihns, que le visage d’un splendide Askari Schendien, d'une beauté sans pareille, t’apparaît… Le brassage de la poussière forme désormais des cercles presque lumineux, dessins du langage passé … L'aura du chamane des temps anciens se précise, sa silhouette se révèle à toi, alors que deux grandes ailes bleues se déploient dans son dos Et d'un violent coup d’ailes, un souffle te propulse avec l’incantation dans les airs, vous faisant virevolter au milieu des feuilles pour monter jusqu'aux cimes des arbres… Là, d'une splendeur à couper le souffle, le voyage vous fait naviguer, alors qu'une envolée d’herlitz vient t'accompagner avec ma voix qui continue sa complainte mélodieuse, et semble vous guider vers une clairière… Puis finir en spirale, autour d'un jeune enfant mâle qui attend en haut d'un grand mur de pierres sombres … Le souffle d’air que tu accompagnes, berce l’enfant qui le respire, puis violemment ton visage tourne vers la clairière où de grandes ailes bleues se déploient au dos d’un guerrier Mamba ! Et te voilà ! Propulsé dans le corps de l’enfant d’une meute où tu y vois le chamane du début ! ... Les tambours résonnent soudain, le Chef Mamba regarde sur sa gauche le chamane qui te fixe de toute son âme et tu les vois alors crier l’assaut. Ils sont des chefs et mènent le combat pour toi! Une nuée de flèches alors passe par-dessus les murs. Il te regarde de nouveau car tu es en danger, et comme si vos vies en dépendaient, tu sens tes tripes bouger en toi, tout ton corps entier voudrait et vibre pour que tu viennes à eux! Mais comment ?…Le mur est si haut… tu ne cesses de fixer le chamane ! Le lien est là ! Indéfinissable ! ... Tu regardes en arrière, alors qu’une ruée de personnes en armes arrivent en scandant ton nom et cherchent à te retenir ! Le frisson s’installe et le temps semble se suspendre et tout se déroule au ralenti … Tu prend un souffle lent, puis prend un élan … En face ta tribu entière coupe son souffle. Tu déploie tes bras comme si tu voulais que des ailes y poussent, tes doigts s’écarquillent … Et te voilà qui te lance dans le vide à plusieurs mètres de haut, l'ensemble des guerriers en bas vibrent et vivent le saut, le temps s’arrête presque ! C’est alors que tu atterris sur le sol comme une pierre mais dans une souplesse sans pareille, indéniable, infiniment féline, pour relever ton regard plus vivant que jamais … tu te redresses …… Comme si ta vie en dépendait, les poings serrés, tu te mets à courir, visage crispé, vers le chamane qui tend son bras... ... Et les tambours alors reprennent … Et les grands guerriers se mettent à brandir les arcs, pour décocher des multitudes de flèches et te couvrir, alors que tu ne cesses de crier les mots ‘Wazazi wangu wapi’ … Tu l’atteins et lui agrippe le bras pour finir dans son dos, il essaie de te regarder alors pour te comprendre, te rassurer, alors que la guerre éclate avec rage, devant vous… c’est alors que les sons des flèches s’atténuent et… un grondement d’orage viendra te réveiller d’un drôle de songe… Tu as sauvé un enfant mon fils… Icabu sourit fièrement!
Athan de Nidaros (Athanasius Pearl): Alors, à Runa...
Nono (nono26amidala Citron): voici le titre de mon Histoire Nono (nono26amidala Citron): Pourquoi y a t'il des deserts et des Oasis ? Nono (nono26amidala Citron) racle sa gorge, intimidee de voir autant de monde qu'elle ne connait pas , puis commence : Dans un village du Sud près de Kasra , vivait un sage , estimé et très bon . Il priait à longueur de journées et même par les nuits de clair de lune ; on pouvait voir sa silhouette se découper dans le ciel clair obscur , égrenant son chapelet et méditant sur la gentillesse ou la méchanceté des hommes , en communion avec ses Dieux , les prêtres rois ! Il était respecté par tous les gens du pays et on venait de loin pour lui demander conseil . Un jour qu’il méditait , assis sur son tapis de prières , il vit venir à lui un grand seigneur, accompagné de son armée . Il venait le voir afin de lui demander son aide et celle de ses sujets pour se battre et défendre leur terre si riche et si fertile que beaucoup d’ennemis convoitaient . Le sage marabout sentit là un très mauvais présage , mais promit toute son aide à ce puissant seigneur. Il descendit de la montagne sur laquelle il vivait isolé , au milieu des grands arbres , des fleurs , de la verdure , des sources et des chants d’oiseaux , afin d’aller demander aux habitants de cette belle oasis de paix et de fraîcheur, de ce paradis merveilleux , d’offrir leur aide au pauvre seigneur, si ennuyé par les armées ennemies . Mais les habitants de ce pays si doux, situé en plein coeur d’une région que l’on appelle maintenant le Tahari, répondirent par un refus catégorique et ils firent la sourde oreille à ses exhortations (def : paroles pour lesquelles on encourage quelqu'un à faire quelque chose) . Ils étaient si heureux ainsi , si tranquilles ! Il fallait les laisser en paix . Privé de leur aide , le puissant seigneur fut battu , ses troupes décimées La colère du vieux sage fut alors terrible . Il partit , son bâton de pèlerin à la main , maudissant ce peuple , son peuple , qui n’avait pas voulu donner son aide au seigneur, et envoya des malédictions sur cette terre fertile qui , peu à peu devint sèche et aride . Les rivières se tarirent dans leurs lits , les arbres périrent d’une étrange maladie , les beaux jardins emplis de fleurs et la verdure qui faisaient de cette contrée une des plus riches du Sud dépérirent , il ne resta plus que des tas d’herbes sèches que le vent violent du désert emporta bien loin . Plus d’eau , plus d’arbres , plus de verdure , donc plus de fraîcheur ! La région devint un pays désertique et nu , où quelques pousses s’accrochèrent péniblement çà et là , on l’appela Tahari . Mais les prêtres rois eurent pitié de cette terre désolée . Soufflant sur des pétales de roses , ils en formèrent des oasis , où l’eau coule fraîche et limpide , où des palmiers donnent une ombre agréable aux pauvres habitants de ce pays qui fut jadis si riche et qui est devenu un vaste désert . Nono (nono26amidala Citron): voila, l'histoire est terminee, et j'aimerais remercier la Maitresse qui a organisé cette soiree de me l'avoir passée, pour vous la conter aujourd'hui
Athan de Nidaros (Athanasius Pearl) regarde à droite, puis à gauche... Victorine (RoseLilibeth): Nous t'écoutons père Victorine (RoseLilibeth) va s'asseoir se doutant que ça va être... long Athan de Nidaros (Athanasius Pearl) : Je vous propose d'écouter la légende de la Vierge de glace : C'est une légende des Hrimgar... Connaissez-vous les monts Hrimgar ? Si vous montez jusque dans le pays des Inuits, vous apercevrez, un peu au sud, une longue ligne bleue émergeant des glaces, une silhouette excessivement dentelée. Ce sont les monts Hrimgar. La chaîne de montagnes -- qui se trouve donc à l’est, et un peu au nord du Thorvaldsland --, est faite de deux longs segments entrelacés entre lesquels coule, si je puis m’exprimer ainsi, le glacier de la Double Hache. Une vallée se creuse un peu plus bas, enserrée entre ces pics déchiquetés. La plus grande partie est couverte de lichen gris et brun, mais à l’approche d’un lac la campagne devient verdoyante et il arrive qu’on aperçoive le soleil pendant une ahn ou deux vers le milieu de la journée. C’est là que ce trouve Nidaros, le village où je suis né. Un village de maisons de bois, à la toiture couverte d’une herbe rase que les tabouks des neiges aiment à brouter. Je ne vais pas vous parler de la fondation de Nidaros par Olaf le preux. Je garde ça pour une prochaine fois. Non, je voudrais vous parler bien plutôt de la vierge de glace, une légende de l’anConstata Ar, un peu plus de mille ans donc après la fondation d’Ar la sublime. En ces temps-là vivait à Nidaros un vieux scribe dont la seule raison de se réjouir était pour lui l’existence et la présence de Vilma, sa fille adorée. Vilma était une jeune femme très indépendante, mais elle aimait profondément et sincèrement son père, auquel elle rendait visite au moins deux fois par main. Le reste du temps elle parcourait la vallée des Hrimgar et vendait sa production de jus de fruits et de lait de verr caillé. Athan de Nidaros (Athanasius Pearl) n'avait pas en tête d'autre jolie fille pour illustrer son conte. Les hommes de Nidaros, qui d’ordinaire préfèrent les alcools forts, notamment une sorte de sul-paga distillée à partir de korts et parfumé à la cardamome, les hommes de Nidaros donc achetaient volontiers les produits de Vilma, car la jeune fille était d’autant plus convaincante qu’elle était fort belle et sentait comme aucune fleur du Hrimgar ne peut sentir. Ils auraient bien aimé l’allonger dans leurs furs, mais Vilma était, je l’ai dit, très indépendante. Si elle ne portait pas d’armes, elle avait la langue suffisamment agile pour jeter le ridicule sur le guerrier ou le paysan un peu trop entreprenant. Le vieux scribe tremblait bien sûr pour elle. Mais deux fois par main, comme je l’ai dit, Vilma venait chez lui, le rassurait, et souvent lui faisait un petit cadeau. Vilma résistait donc à toutes les avances. Elle n’était pas indifférente cependant à tous Elle aimait un dénommé Markvar. C’était un jeune scribe qui avait appris le métier auprès du père de Vilma, mais qui avait fini par abandonner sa charge pour se consacrer à son art. Markvar était sculpteur sur glace. Je ne sais pas si l’on vous a dit, mais la glace est tellement pure dans les Hrimgar, elle s’y conserve si bien que la plupart des sculpteurs dédaignent la pierre, granit ou tuffeau, pour sculpter la glace. Tous les ans, au premier jour d’En’Var, une fois qu’il a célébré le retour de Lar Torvis, le soleil, l’administrateur de Nidaros lance le fameux concours des sculpteurs sur glace. Eh bien ! depuisans, depuis que Markvar avait commencé à sculpter la glace, c’était lui qui recevait le premier prix. Comme, tous les ans, c’était la plus belle fille de Nidaros qui remettait la coupe, Vilma plus souvent qu’à son tour s’était approché de Markvar pour lui tendre le trophée et déposer sur sa joue un chaste baiser. Voilà donc comment ces deux-là s’aimaient, presque sans jamais se voir, car, je l’ai dit, Vilma parcourait la campagne, et de son côté Markvar restait des mains et des mains, là-haut, sur le glacier Or il arriva qu’un jour débarqua à Nidaros, en provenance du Tahari, un marchand qui s’appelait Missak. C’était un homme très riche qui croyait que les tarsks peuvent tout acheter. La première fois où il croisa Vilma, il la trouva à son goût. En lui achetant trois bonnes louches de lait caillé, il lui fit la conversation. Il lui demanda si elle était compagnonnée –- ce qui n’était pas le cas –- et comment s’appelaient ses parents. Vilma-- qui pensait que tous les gens étaient aussi honnêtes qu’elle -- répondit franchement aux questions du marchand. Elle eut envie de parler de Markvar. Puis elle se dit que cela ne regardait en rien ce Missak. Alors sans plus se préoccuper du marchand, qui pour tout dire ne lui plaisait guère, elle continua sa tournée. Le lendemain, à la première ahn, Missak le marchand se rendit chez le père de Vilma. Le vieux scribe le reçut courtoisement, mais lorsque son visiteur déposa une montagne de tarsks sur la table, il commença à se poser des questions. Et il se mit à les poser également à ce Missak… Le marchandexpliqua qu’il voulait que Vilma devienne sa compagne. Le scribe s’étonna : « tous ces tarsks, c’était pour acheter ma fille ? » Le marchand ne sut que répondre et le vieux scribe, furieux, le mit à la porte : « Ma fille n’est pas à vendre », gronda-t-il. Jamais un marchand, fût-il aussi riche que Crésus d’Ar, n’enfermerait sa fille, qui était libre comme l’air et légère que les hauts nuages flottant au-dessus des monts Hrimgar. Le marchand ne s’estima pas vaincu. Il demanda à un vieillard où vivait la belle Vilma, et le lendemain, il se présenta chez la jeune fille. Athan de Nidaros (Athanasius Pearl) grogne : "oui, je sais ça fait beaucoup de vieillards..; vous préférez une vieille ?" À son tour, Vilma fut un peu surprise de le voir, mais comme elle était polie et ne craignait pas les mâles, elle le laissa entrer chez elle. Missak sortit alors de ses poches des piles de pièces d’argent et les posa sur la petite table de la jeune fille.
Victorine (RoseLilibeth) écoute attentivement
Vilma ouvrit de grands yeux : « Par Odin et Thor réunis ! vous voulez acheter ma petite maison ? », demanda-t-elle. « Non, dit le marchand, je veux simplement te couvrir d’or et que tu deviennes ma compagne. Tu ne manqueras de rien ! » « Tu auras toutes les belles robes que tu veux, des kajirae à foison. Tu partageras ma belle demeure de pierres, juste à côté de la place du marché.» Vilma n’avait nulle envie de vivre dans la pierre, et elle n’avait pas besoin d’autres robes que celles qu’elle s’achetait ou que son vieux père lui offrait. Elle expliqua au marchand qu’elle était trop jeune pour songer au compagnonnage et pria le marchand de bien vouloir la laisser. Elle devait préparer les commandes de ses clients. Le marchand, furieux, s’en alla. Mais il revint le lendemain, avec plus de tarsks encore, et de jolies robes, des fleurs et des bonbons au miel. Vilma lui expliqua gentiment qu’elle ne voulait pas songer au compagnonnage. Le marchand, encore plus furieux, s’en retourna chez lui et quand il se présenta le lendemain, Vilma tenta de lui réexpliquer sa position. Puis elle ajouta : « de toute façon, si je me compagnonne un jour, ce sera avec Marvak, le sculpteur sur glace. »
Icabu se dit que ce Missak avait du mal à comprendre que c'était mort de chez mort.... il écoute la suite avec intérêt. Athan de Nidaros (Athanasius Pearl) salue discrètement la chasseresse. Tout le bien.
Victorine (RoseLilibeth) pose les mains au bord du banc et replie ses doigte le serrant de toutes ses forcesà tel point que ses jointures blanchissent sse remémrant de déplaisants évènements qui la touchent encore, ses lèvres perdent son sourire et son corps entier se raidit
Alors Missak entra dans une colère noire : « Comment, tu veux un artiste ? Mais il ne peut pas t’offrir la moitié du quart de ce que tu auras avec moi ! » « Peut-être, dit Vilma, mais il a les joues douces et il sent bon. Et puis quand il sculpte un animal ou un paysage dans la glace, on sent qu’il le fait avec le cœur.» «Enfin, ajouta-t-elle,je sais que mon petit papa l’aime bien ». Le marchand était fou furieux. Il savait que le vieux scribe ne sortait plus guère de chez lui et que le sculpteur sur glace était tout là haut sur le glacier. Il paya trois mercenaires et fit enlever Vilma le soir même. Les hommes de main profitèrent du sommeil de la jeune fille pour forcer la serrure, puis ils assommèrent Vilma, la glissèrent dans un sac et filèrent jusque chez Missak. Le marchand connaissait l’existence d’une caverne magique creusée dans la montagne. Un mot suffisait à l’ouvrir et à la refermer. C’est là qu’il entreposait les trésors qu’il revendait à prix d’or. Il y conduisit les mercenaires, toujours avec leur sac, et commanda l’ouverture en chuchotant le mot magique de telle sorte que personne ne l’entende. Il congédia les mercenaires, en leur offrant une belle prime afin qu’ils gardent le silence, et enchaîna la belle Vilma à un rocher à l’intérieur de la grotte. Il déposa à ses pieds un bol d’eau et un quignon de pain. « Maintenant, dit-il, tu vas pouvoir réfléchir à ta guise.» « Ou tu consens à être ma compagne, ou tu restes dans cette caverne à ne rien manger d’autre que ce vieux quignon de pain et ne rien boire d’autre que de l’eau du glacier. » Vilma lui cracha au visage. Il tourna les talons, sortit de la caverne et murmura le mot magique pour que le rocher se referme. Comme à son habitude, il parlait très bas, pour que personne à part lui ne connaisse le mot mystérieux. Ce qu’il ignorait, c’est que Vilma avait l’ouïe particulièrement fine. Elle entendit le mot, mais ne put rien en faire, car elle ne pouvait briser ses chaînes et sortir. Elle resta donc seule dans le noir, s’assit par terre et commença à mâchonner son quignon de pain en se disant que, de toute façon,le froid mettrait bientôt terme à ses souffrances. Car il fait très froid, la nuit, dans les monts Hrimgar. Et lorsque Missak revint le lendemain pour essayer de convaincre Vilma, il se rendit compte de son erreur : la jolie jeune femme était morte de froid, elle n’était plus qu’une statue de glace, pareille à celle que sculptait Marvak, tout là haut, sur le glacier. Lorsqu’il vit qu’il avait tué la plus belle fille de Nidaros, Missak le marchand prit peur. Il ne pouvait laisser le cadavre dans la caverne, parmi les belles étoffes et tous les trésors qu’il y entassait. Aux beaux jours, il aurait dégelé et gâté tous les trésors du marchand Missak résolut donc de se débarrasser du cadavre. En réfléchissant un peu, il se dit que le meilleur moyen était de faire passer Vilma pour une sculpture de glace. Il irait la placer parmi les fameuses œuvres de Marvak, et lorsque la fonte des neiges se ferait sentir, c’est le sculpteur qui serait accusé du meurtre. Il loua les services de trois sourds et muets pour qu’ils montent la belle Vilma jusqu’au sommet de la montagne, là où Marvak rangeait ses plus belles sculptures. Puis lorsque les trois hommes de main revinrent demander le reste de leur salaire – ils avaient perçu une moitié à la commande – Missak les tua, l’un après l’autre. C’étaient des sourds-muets. Mais on n’est jamais trop prudent. Quand Marvak constata la présence d’une statue de Vilma parmi les siennes, il crut qu’un sculpteur plus doué encore que lui s’était installé, lui aussi, sur le glacier. Il chercha d’abord cet artiste inconnu, puis, ne le trouvant pas, examina de plus près la statue. C’est alors qu’il comprit. Ce n’était pas une statue, mais sa belle Vilma que quelqu’un avait laissée mourir de froid. Au risque de se rompre le cou, il descendit au pas de course à Nidaros et décrivit au vieux scribe sa macabre découverte. – C’est cet horrible marchand, j’en suis sûr, gémit le vieillard. – C’est affreux, poursuivit Marvak, on dirait qu’elle est endormie et enfermée dans la glace. Le vieux scribe leva un sourcil et demanda au sculpteur : « Elle a conservé ses jolies couleurs» – Oui répondit Marvak qui ajouta : « Ses yeux sont ouverts, on dirait qu’elle vous regarde…» Alors le vieux scribe eut un sourire : « tu vas faire une statue de glace qui soit aussi belle que Vilma, qui reproduise exactement les traits de ma fille. Combien de temps de faudra-t-il ? » – Je ne sais pas si j’en suis capable, gémit Marvak. Mais si j’y parviens, il me faudra au moins cinq ou six mains. – Alors je viendrai te voir dans six mains, dis le vieux scribe avant d’ajouter : « Maintenant part, il n’y a pas une minute à perdre. » Six mains plus tard, la statue était achevée. Même si Marvak n’était pas content de lui, il faut dire qu’elle était presque aussi belle que Vilma. pars* Le vieux scribe arriva à la cabane du sculpteur le premier jour de la septième main. Il expliqua qu’il fallait faire monter dans la cheminée de la cabane un vrai feu d’enfer. Victorine (RoseLilibeth) se sent toute triste en écoutant le récit d'Athan, se contient ne pouvant laiseer libre cours à ses émotions. Puis quand l’air y serait doux, ils y conduiraient la statue de glace. « Mais elle va fondre, protesta le sculpteur. » – Bien sûr ! reconnut le scribe, mais c’est un cadeau que tu dois faire à Hel, la déesse des morts dont le domaine est le monde du froid et de la glace. Elle aussi a besoin de chaleur. Ils firent comme le vieux scribe avait dit. Ils firent entrer la statue de glace dans la cabane et presque aussitôt elle commença à fondre. Lorsqu’elle eut diminué de moitié et ne fut plus qu’un bloc de glace informe, Marvak et Athan – c’était le nom du vieux scribe – entendirent un grand bruit au-dessus de leur tête. Ils sortirent de la cabane et virent que le ciel s’était embrasé sous l’effet d’une magnifique aurore boréale. Une grande femme se présenta alors devant eux De quelque côté qu’elle se tourne, elle avait un visage plongé d’un côté dans l’ombre, et de l’autre côté dans la lumière. C’est ainsi que les Torvis représentent Hel. Elle s’empara de ce qui restait de la statue et la brandit très haut au-dessus de sa tête. Aussitôt, un éclair vint frapper la montagne. Marvak et Athan virent alors avec stupeurque cet éclair avait sculpté la montagne – ou au moins les neiges éternelles qui la recouvrent. On voyait, immense, une reproduction de la statue qu’avait sculptée Marvak en essayant de la faire aussi belle que Vilma. Alors la femme au visage d’ombre et de lumière se tourna vers Athan et demanda : « Qui dois-je prendre ? ». Le vieux scribe répondit : « Missak le marchand ». La femme aux deux visages avait déjà disparu. Nono (nono26amidala Citron): (( le lapsus ^^ )) Alors Athan demanda à Marvak de le conduire le plus vite possible jusqu’à Vilma transformée en statue. Lorsqu’ils arrivèrent au sommet de la montagne, le sculpteur fut absolument sidéré. Car Vilma était là bien vivante, comme si elle venait tout juste de se réveiller., et ne cessait de répéter : « Mais qu’est-ce que je fais là ? Qu’est-ce que je fais là ? » Ils lui dirent qu’elle avait échappé à un terrible péril et la portèrent tous deux jusqu’à la cabane où il faisait toujours aussi chaud. Victorine (RoseLilibeth) ouvre la bouche de stupeur Peu à peu Vilma se réchauffa, ses vêtements séchèrent et elle retrouva sa bonne humeur. Lorsqu’ils redescendirent à Nidaros, ils apprirent tout trois que le marchand Missak avait été retrouvé mort dans son lit : « mort de froid, complètement gelé » dirent les voisins du méchant homme. Vilma se souvint alors qu’il y avait une caverne, avec plein de trésors et qu’elle connaissait le mot magique qui permettait de l’ouvrir. Elle se demanda un instant si cela valait la peine de le dire à son père et à celui qui serait bientôt son compagnon. Les deux hommes étaient assis au coin du feu, dans la maison du scribe. Ils riaient en échangeant des histoires et des souvenirs. Ils avaient l’air si heureux qu’elle se dit que ce n’était pas la peine de les troubler avec des histoires de trésor. Elle s’approcha d’eux, s’assit entre le scribe et le sculpteur, et se rempli un bol de lait caillé pour trinquer avec eux. Trois ehns plus tard, la petite maison du scribe résonnait de chansons, de rires et d’histoires. Voilà pourquoi, si un jour vous passez par le grand col de la Double Hache, entre les monts Hrimgar vous apercevrez peut-être qu’une des montagnes, la plus haute, ressemble une femme. Bien sûr, le temps est passé par là, et la forme n’est plus aussi belle que le fut Vilma. Mais vous pourrez vous rassurer en vous disant qu’au moins il reste le trésor. Car on dit qu’un mot, un mot très courant dans le vocabulaire de Nidaros, est celui qui permet d’ouvrir la caverne. Seulement, Vilma n’a jamais dit à personne que c’était ce mot-là. Donc il vous faudra écouter longtemps les gens de Nidaros pour deviner, parmi tous les mots qu’ils utilisent, lequel peut être le bon. Athan de Nidaros (Athanasius Pearl) se retourne pour voir si tout le monde s'est endormi.
Icabu fait des yeux ronds et applaudit!!! que ce fut loooonnnnngggggggg mais très bien!